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L'Opération Crossbow n'aura que très peu d'impact sur la recherche aéronautique allemande... mais elle a permis de gagner un temps précieux en décalant l'utilisation des fameuses armes X comme le disait Jacques Bergier.
Völkenrode.
Le nom de cette bourgade allemande n'évoque surement rien pour vous. Idem pour les spécialistes de l'aéronautique. Et pourtant, ce nom est cité
dans l'ouvrage de Charles Moreau Jacques Bergier, Résistant est scribe des miracles. Durant la période 1935-1945, Völkenrode, situé près de Brunswick, abrite l'établissement de recherche aéronautique Herman Göring, Dupliquant les recherches menées dans le très célèbre et très connu centre de Peenemünde, Völkenrode possède pas moins de 9 souffleries, A1 à A9. Les plus significatives sont les souffleries A1 à A3. A1 fonctionne dès 1937 avec un diamètre de 2,5m à 3m. La soufflerie A2, terminé
en 1939 ne sera opérationnelle qu'en 1942. Elle est destinée pour les essais à
hautes vitesses les divers composants des jets, missiles et fusées du Troisième
Reich. Achevé en 1940, A3 est la plus imposante avec un diamètre de veine de 8m
et une vitesse maximale pour les essais de l'ordre de 350km/h. Les illustrations
montrent un chasseur de l'époque, le Messerschmitt B109E, dans la veine libre
d’expérimentation. Dans la nuit du 17 au 18 août 1943, la RAF a bombardé
Peenemünde. C'est l'Opération Crossbow, Arbalette. Dès le début de la guerre, Jacques
Bergier a pris part aux événements avec la création du premier réseau
d'espionnage scientifique, Marco Polo.Son but est d identifier les armes secrètes allemandes, les fameux V1 et V2,
missiles de croisière et fusées de l'époque. Avec les dommages causés à
Peenemünde, les essais sont transférés à Blizna en Pologne occupée. La
production des missiles V1 et V2 se fera dans une usine souterraine,
Mittelwerk, près de Nordhausen, en Thuringe, c'est le camp de concentration de
Dora. Les alliés ne connaissait pas Völkenrode. L'Opération Crossbow
n'aura que très peu d'impact sur la recherche aéronautique allemande... mais
elle a permis de gagner un temps précieux en décalant l'utilisation des fameuses
armes X comme le disait Jacques Bergier.
Völkenrode.
Le nom de cette bourgade allemande n'évoque surement rien pour vous. Idem pour les spécialistes de l'aéronautique. Et pourtant, ce nom est cité
dans l'ouvrage de Charles Moreau Jacques Bergier, Résistant est scribe des miracles. Durant la période 1935-1945, Völkenrode, situé près de Brunswick, abrite l'établissement de recherche aéronautique Herman Göring, Dupliquant les recherches menées dans le très célèbre et très connu centre de Peenemünde, Völkenrode possède pas moins de 9 souffleries, A1 à A9. Les plus significatives sont les souffleries A1 à A3. A1 fonctionne dès 1937 avec un diamètre de 2,5m à 3m. La soufflerie A2, terminé
en 1939 ne sera opérationnelle qu'en 1942. Elle est destinée pour les essais à
hautes vitesses les divers composants des jets, missiles et fusées du Troisième
Reich. Achevé en 1940, A3 est la plus imposante avec un diamètre de veine de 8m
et une vitesse maximale pour les essais de l'ordre de 350km/h. Les illustrations
montrent un chasseur de l'époque, le Messerschmitt B109E, dans la veine libre
d’expérimentation. Dans la nuit du 17 au 18 août 1943, la RAF a bombardé
Peenemünde. C'est l'Opération Crossbow, Arbalette. Dès le début de la guerre, Jacques
Bergier a pris part aux événements avec la création du premier réseau
d'espionnage scientifique, Marco Polo.Son but est d identifier les armes secrètes allemandes, les fameux V1 et V2,
missiles de croisière et fusées de l'époque. Avec les dommages causés à
Peenemünde, les essais sont transférés à Blizna en Pologne occupée. La
production des missiles V1 et V2 se fera dans une usine souterraine,
Mittelwerk, près de Nordhausen, en Thuringe, c'est le camp de concentration de
Dora. Les alliés ne connaissait pas Völkenrode. L'Opération Crossbow
n'aura que très peu d'impact sur la recherche aéronautique allemande... mais
elle a permis de gagner un temps précieux en décalant l'utilisation des fameuses
armes X comme le disait Jacques Bergier.